Histoire de cul sur forum hard

stylex a souhaité nous conter une histoire de cul sur forum-hard, oui j’ai bien dit de cul car cette histoire érotique dévoile le vice d’une femme fan de rapport anal… Je vous en dis pas plus et vous laisse vous plonger dans cette histoire sexe!

« A quarante deux balais et bien tassés, j’avais à cette époque une copine américaine de 32 ans qui habitait Paris, tout près de la Bastille, dans un appartement juste au-dessus du grand marché d’Aligre, dans le 12èm arrondissement.

Avec ses cheveux châtains et coupés cours, quelques taches de son, telle une ligne d’horizon, embellissaient son doux visage, lui donnant presque un air enfant. Elle s’appelait Sheilly et adorait en guise de préliminaires, que je m’amuse longtemps, avec… Comment dire ? Voyons… C’est pas facile à die, mais soyons vrai ; Elle aimait que je joue longtemps, avec son anus.
D’abord avec mes doigts… D’ailleurs pour ça, elle m’aidait bien… Lorsque nous avions l’occasion de déjeuner chez elle, on le faisait souvent, soit à la fin du repas, ou même dans la cuisine, (américaine elle aussi, qui l’eu cru) lorsque je préparais le repas (j’adore cuisiner). et juste avant que nous passions à table.

Bref ! Elle s’amusait à me tourner autour devant la table de cuisson en dédaignant les risques de brûlures. Elle descendait et remontait derrière moi, tantôt debout, tantôt accroupie, en me touchant, me caressant, accompagnant ses gestes de baisers, me chuchotant quelques insanités de son beau répertoire de gamine mal élevée. Elle attrapait mes lèvres de ses lèvres, lorsque suivaient nos langues, au feutre de sa voix qui me disait « je taime Jack ! » « Yes jack ? tou m’aime toi ? ». Puis elle me taquinait.

En fond sonore, on entendait de la fenêtre à peine ouverte le bruis du marché, le brouhaha de ses badauds, mêlés au chuchotis de la cuisson et qui n’en finissait jamais. Le temps pour elle de me défaire de ma ceinture et de descendre mon pantalon. Et Moi, feignant l’agacement, je lui disais « « arrête ! » « attends ! Tu risques de te brûler à faire ça maintenant »… Elle était sourde ! Elle continuait sans m’écouter et sans m’entendre, tournait encore autour de moi, prenant ses airs de petite fille dévergondée, tout en faisant semblant de se cacher de ses bêtises. Et me voilà les fesses à l’air et le sexe tendu devant l’interminable gazinière. Tandis que derrière moi, Sheilly me caressait les fesses, puis me les écartait. Je devinais alors humant cette partie de moi qu’elle odorait explorer de tous ses sens. L’impératif entre Sheilly et moi était la propreté, mais peu lui importait, elle se délectait. Puis réapparaissait, là, devant moi, se relevant pour m’embrasser encore et puis encore, l’index d’une main fouillant dans mon anus, et caressant mon sexe de l’autre main, elle ajoutait … « Tu aimes ça petit cochon hein !»… Une vraie merveille cette fille ! Tant bien que mal, une fois la table mise, nous étions enfin prêts pour déjeuner…

A la fin de repas, Sheilly avait cette façon habituelle de me regarder. Avec un p’tit sourire au coin de l’oeil, elle laissait deviner, tout ce que désormais elle attendait de moi… Elle se tenait assise, cambrait ses fesses les faisant déborder dans le vide, sur l’un des tabourets géant, et parmi ceux placés face la table ou plus exactement au bar, (design oblige), elle relevait sa jupe et offrait tout entier à ma vue, le plus beau cul bronzé du monde bien rond et superbement lisse… Moi derrière à quatre pattes, je n’en pouvais plus… « Ca m’amuse » qu’elle me disait, en écartant ses fesses le plus possible, afin que je profite de tout… Souvent elle ajoutait avec son p’tit accent d’outre atlantique « Regarde Jack ! Tou aimes my ass jack? » elle riait alors, et exigeait de moi, que je la lèche un temps interminable. « j’aime sentir ta langue dans mon cul Jack ! »Tandis qu’avec ses mains, elle maintenaient ses fesses bien écartées en implorant encore. Moi, aidé de mes doigts, afin d’exécuter ses fabuleuses prières, j’ouvrais son petit trou, puis pénétrais ma langue, au plus profond qu’il eût été possible… Puis je la pénétrais encore et plus encore, toujours au même endroit… Un pur délire« 

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